L'Union européenne semble décidée à supprimer mardi l'interdiction emblématique de 2035 sur les nouvelles voitures essence et diesel, dans le cadre d'un ensemble de réformes destinées à soutenir l'industrie automobile européenne en difficulté, un soulagement majeur pour la France où des millions d'emplois dans l'automobile à Paris, chez Renault et Stellantis dépendent de cette décision, préservant ainsi l'économie et les citoyens français face à la transition électrique forcée.